"Les mages, nous est-il dit, sont partis à la suite d’un « astre » qu’ils avaient vu « se lever ». Sans doute étaient-ils des astronomes ou des astrologues, sans doute admiraient-ils le cycle régulier des planètes et des étoiles, mais peu importe ce détail devant le fait plus fondamental qu’ils se soient « mis en route » sous l’impulsion de la chose même qui les passionnait. Cela vaut toujours de nous. Le Père nous « attire » (Jn 6, 44) vers son Fils à travers ce qui constitue notre désir [...]".
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Homélie de la solennité de l’Epiphanie, dimanche 6 janvier 2008 - Mt 2, 1-12
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Mt 2, 1-12
Homélie de la solennité de l’Epiphanie, dimanche 6 janvier 2008 - Mt 2, 1-12 (PDF - 46.1 ko)